Lorsque l’État d’Israël déclara son indépendance en 1948, son système éducatif ne partit pas de zéro : il s’enracinait dans 3 800 ans d’histoire juive. De l’époque biblique au sionisme moderne, le retour du peuple juif sur sa terre ancestrale – et le désir ininterrompu d’y revenir – façonna la manière dont l’État aborda l’éducation de sa jeunesse.

La Journée du Souvenir consacrée à l’assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin est une journée nationale commémorée chaque année le 12 Heshvan dans le calendrier hébraïque.

Selon le Bureau Central des Statistiques, à la fin de l’année 2021, Israël comptait 6 873 000 Juifs, 1 671 000 Musulmans, 179 000 Chrétiens et 146 000 Druzes.

L’hymne national d’Israël, Hatikvah ("L’Éspérance"), exprime l’aspiration profonde du peuple juif à retourner en Israël, la terre de ses ancêtres, après 2000 ans d’exil suite à la destruction du Second Temple par les Romains en l’an 70 de notre ère.

Comment Ben-Gourion a scellé un compromis en 1947 pour unir religieux et laïcs dans le futur État d’Israël. Un accord encore au cœur des tensions politiques d’aujourd’hui.

Fondé en 1930, le parti Mapai est né de la fusion de deux partis : Akhdut HaAvoda et HaPoel HaTzair. Pendant toute son existence, Mapai fut le parti le plus influent et le plus puissant sur l’échiquier politique. Sous le mandat britannique, il contrôlait les principales institutions, les congrès sionistes et la fédération syndicale Histadrout.

Israël est l’une des deux seules démocraties au monde à ne pas avoir adopté de constitution formelle, malgré une décision explicite de l’Assemblée constituante en ce sens. Cette situation soulève des questions fondamentales : pourquoi une constitution n’a-t-elle jamais vu le jour ? Quelles en sont les conséquences ? Et surtout, est-il encore possible d’y remédier ?

La Loi norvégienne régit les relations entre les membres du gouvernement et les députés de la Knesset. Inspirée d’un modèle en vigueur en Norvège, cette législation permet une gestion plus flexible des sièges parlementaires.

e nom « Knesset » provient de l’ancienne Knesset HaGdola – la « Grande Assemblée » en hébreu – un regroupement de 120 scribes, sages et prophètes de la tradition juive.

La Knesset, le parlement de l’État d’Israël, compte 120 membres.